Le vol de la plume

Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 13/03/2009

Des parchemins volent dans la ville d’Astria un message qui interpelle les gens faisant se tourner vers le temple les regards du peuple.

Il était un tout petit archon
Pas plus grand qu’un bouchon.
Il disait faire justice pour nous
Mais il nous a pris pour des fous

Cette assassine, la reine sombre
Par le mini soldat fut retiré de l’ombre.
Petit archon où est ton estime pour nous
Quand tu la salut chez elle à genoux

Veuve tu peux crier ta douleur,
Enfant laisse couler tes pleurs,
Justice le petit archon nous ment
A nous les pauvres et les insignifiants

*La réaction de l'Edile de la Foi fut toute simple. A chaque feuille qu'il croisait, il marquait une nouvelle phrase en-dessous, suivi d'un cours poème, le sourire aux lèvres.*

Laissez dire et bien faire.

"Laissez dire et bien faire,
Ces mots ne touchent pas,
A quoi bon mettre aux fers,
Quand on garde la foi,

Réagir semble incongru,
Cette note alors, je laisse,
L'auteur ainsi, inconnu,
Viendra me voir en messe,

Ô Peuple, ne l'oublie pas,
Les Chevaliers toujours seront là,
Ô Justice, ainsi soit faite,
Gardez espoir, il faut tenir tête,

Une telle lâcheté, il faut l'avouer,
L'auteur se cache, il faut y songer,
Pensez-y alors, amis astriens,
Cette personne là, ne croit en rien,

Ainsi, nous verrons la suite,
Que son identité soit révélée,
Moi, je vous le dis, tout de suite,
Nous serons toujours là, pour vous aider."

Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 13/03/2009

Devant le palais et dans le quatier du temple les parchemins volent au grés du vent. Les enfants entrainé par les mots chante une chanson au refrain envoutant.

Elle est passé par ici elle repassera par là.
Mais ou est donc passé la reine
Elle qui laisse le peuple en peine.
Jamais ici chez nous on ne l’aperçois.
Elle a même fini par lasser le roi.

Elle est passé par ici elle repassera par là.
Comme reine maintenant on a une naine
Qui a des poils partout et fait sa teigne.
Il était une fois une citée dites des anges.
Qui par sa reine se roule dans la fange.

Elle est passé par ici elle repassera par là.
Un général mort si facilement oublier.
Qui au temple fini par se momifier.
Amant de la reine qui ne l’amusait plus.
Qui sera maintenant le nouvel élu ?

Elle est passé par ici elle repassera par là.
Serait ce donc se tout petit paladin
Qui la basculera pour arriver à ses fins.
Nous sommes tous des pauvres fous.
De croire qu’ils font ça pour nous.

Elle est passé par ici elle repassera par là.

Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 13/03/2009

Des parchemins s’envolent de par les vents mener dans les mains des gens de la ville d’Astria. Refrain chantant repris par les enfants. Une voix mélodieux et cristalline parfois vient murmurer à vos oreilles, porté par la brise.

Ils étaient un, deux et trois,
Ils voulaient changer les lois,
C’était sans conter sur le maudit roi.
Adieux petit archon, grand homme de foi.

Un, deux, trois changeons enfin les traditions
Tournons à s’essouffler dans la grande ronde
Quatre, cinq, six tu ne nous laisses que des polissons
Dansons avec les derniers grands de ce monde.

Ils étaient un, deux et trois à aimer rêver.
Ils voulaient voir un nouveau jour se lever.
C’était sans conter sur le dieu ne le souhaitait.
Au revoir beau général qui ne desirait que la paix.

Un, deux, trois, le soleil éclaire à nouveau ses terres.
Dans la ronde nous pleurons ceux qui furent nos pairs.
Quatre, cinq, six, qui nous donnera après vous des repères
Dansons pour soulager nos peurs de voir cette nouvelle ère.

Ils étaient un, deux et trois à nous faire espérer.
Ils voulaient nous aider à nous relever.
C’était sans compter sur notre égoïsme né.
A bientôt dame elfe, qui la lumière nous a amené.

Un, deux, trois que nous reste t’il de vos vies ?
La ronde s’épuise dans la foule qui oublie.
Quatre, cinq, six qui sont ceux a qui on se lie ?
Dansons avec ceux qui sonne notre allalie.

La plume ...

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